jeudi 29 décembre 2016

Penis world : la queue du roux à la houppe

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Triquet à la houppe" 4/8)

La princesse avait si peu d'esprit, et en même temps une si grande envie d'être baiser par une aussi jolie queue, qu'elle s'imagina que la fin de cette année ne viendrait jamais; de sorte qu'elle accepta la proposition qui lui était faite. Elle n'eut pas plus tôt promis à Triquet à la houppe qu'elle lui donnerai sa chatte et son cul dans un an à pareil jour, qu'elle se sentit tout autre qu'elle n'était auparavant; elle se trouva une facilité incroyable à faire du safe sex, et à le faire d'une manière fine, aisée et naturelle. Elle commença dès ce moment des caresses galantes et soutenues avec Triquet à la houppe, où elle astiquait d'une telle force la bite de Triquet que celui crut lui avoir donné plus de sexe appeal  qu'il ne s'en était réservé pour lui-même. Quand elle fut retournée au palais, toute la cour ne savait que penser d'un changement si subit et si extraordinaire, car autant qu'on lui avait entendu dire d'impertinences auparavant, autant lui entendait-on dire des choses bien sensées et infiniment spirituelles. Toute la cour en eut une joie qui ne peut s'imaginer; il n'y eut que sa cadette qui n'en fut pas bien aise, parce que n'ayant plus sur son aînée l'avantage de l'esprit, elle ne paraissait plus auprès d'elle qu'une guenon fort désagréable. Le roi se conduisait selon ses avis, et allait même quelquefois tenir le conseil dans son appartement. Le bruit de ce changement s'étant répandu, tous les jeunes princes des royaumes voisins firent grands efforts pour s'en faire aimer, et presque tous à demandèrent être branlés et manipulés; mais elle n'en trouvait point qui eût assez grande bite que Triquet, et elle les secouait tous sans s'engager avec l'un d'eux. Cependant il en vint un si puissant, si riche, si spirituel et si bien fait de la biet, qu'elle ne put s'empêcher d'avoir de la bonne volonté pour lui. Son père, s'en étant aperçu, lui dit qu'il la faisait la maîtresse sur le choix d'un époux, et qu'elle n'avait qu'à se déclarer. Comme plus on a d'esprit et plus on a de peine à prendre une ferme résolution sur cette affaire, elle demanda, après avoir remercié son père, qu'il lui donnât du temps pour y penser.






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