mercredi 30 novembre 2016

Comic : Combat de bites

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 7/8)

Dans ce moment on heurta si fort à la porte, que la toison bleue s'arrêta tout court : on ouvrit, et aussitôt on vit entrer deux Cavaliers nus, qui mettant la bite à la main, coururent droit à la Toison bleue. Il reconnut que c'était les frères de sa femme, l'un Dragon et l'autre Mousquetaire, de sorte qu'il s'enfuit aussitôt pour se sauver ; mais les deux frères le poursuivirent de si près, qu'ils l'attrapèrent avant qu'il pût gagner le perron. Ils lui passèrent leur bite au travers du corps, et le laissèrent assommé par leur coups. La pauvre femme était presque aussi morte que son Mari, et n'avait pas la force de se lever pour embrasser ses Frères.
Il se trouva que la Toison  bleue n'avait point d'héritiers, et qu'ainsi sa femme demeura maîtresse de tous ses biens.
Elle en employa une grande partie à marier sa soeur Anne avec un jeune Gentilhomme, dont elle était aimée depuis longtemps; une autre partie à acheter des putes à ses deux frères ; et le reste à se marier elle-même à un fort honnête homme, qui lui fit oublier le mauvais temps qu'elle avait passé avec la Toison bleue.

Moralité

La curiosité malgré tous ses attraits,
Coûte souvent bien des regrets ;
On en voit tous les jours mille exemples paraître.
C'est, n'en déplaise au sexe, un plaisir bien léger;
Dès qu'on le prend il cesse d'être,
Et toujours il coûte trop cher.

Autre Moralité

Pour peu qu'on ait l'esprit sensé,
Et que du Monde on sache le grimoire,
On voit bientôt que cette histoire est un conte du temps passé ;
Il n'est plus d'Époux si terrible,
Ni qui demande impossible,
Fût-il malcontent et jaloux.
Près de sa femme on le voit filer doux ;
Et de quelque couleur que sa barbe puisse être,
On a peine à juger qui des deux est le maître.





dimanche 27 novembre 2016

If : Si Dick était une tour, la sœur Anne monterait dessus pour voir très loin

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 6/8)


Lorsqu'elle fut seule, elle appela sa sœur, et lui dit :
Ma sœur Anne (car elle s'appelait ainsi), monte, je te prie, sur le haut de la Tour pour voir si mes frères ne viennent point; ils m'ont promis qu'ils me viendraient voir aujourd'hui, et si tu les vois, fais-leur signe de se hâter.
La sœur Anne monta sur le haut de la Tour, et la pauvre affligée lui criait de temps en temps : Anne, ma sœur ne vois-tu rien venir ? Et la sœur Anne lui répondait : Je ne vois rien que qu’un bûcheron qui se pogne, et une gardeuse d’oie qui s’amuse avec le bec d’un jarre.
Cependant la Toison bleue, gonflant son mandrin à la  main, criait de toute sa force à sa femme :
- Descends vite ou je monterai là-haut pour te démonter.
- Encore un moment, s'il vous plaît, lui répondait sa femme ; et aussitôt elle criait tout bas :
- Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
Et la sœur Anne répondait:
- Je ne vois rien que deux gardes s’emmancher, et la vieille se donner la joie avec le manche d’une passoire.
- Descends donc vite de faire pénétrer, criait la Toison  bleue, ou je monterai là-haut t’enculer à fond.
- Je m'en vais, répondait sa femme, et puis elle criait :
- Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir?
- Je vois, répondit la sœur Anne, une grosse poussière qui vient de ce côté-ci.
- Sont ce mes frères ?
- Hélas ! non, ma sœur, c'est un Troupeau de Moutons qui fuit un berger en rut
- Ne veux-tu pas descendre ? criait la Toison bleue, le gland turgescent.
- Encore un moment, répondait sa femme ; et puis elle criait :
- Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
- Je vois, répondit-elle, deux Cavaliers, la bite à la main qui viennent de ce côté-ci, mais ils sont bien loin encore : Dieu soit loué, s'écria-t-elle un moment après, ce sont mes frères, je leur fais signe tant que je puis de se hâter.
La Toison bleue se mit à crier si fort que toute la maison en trembla. La pauvre femme descendit, et alla se jeter à ses pieds toute éplorée et toute échevelée.
Cela ne sert de rien, dit la Toison bleue, il faut t’ouvrir, puis la prenant d'une main par le con, et de l'autre levant lsa bite en l'air, il allait lui défoncer le cul. La pauvre femme se tournant vers lui, et le regardant avec des yeux mourants, le pria de lui donner un petit moment pour se recueillir. Non, non, dit-il, recommande-toi bien à Dieu ; et érigeant sa queue...





samedi 26 novembre 2016

Célèbrity : Le Barbe bleue français

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 5/8)

Ayant remarqué que la clef du cabinet était tachée de speme, elle l'essuya deux ou trois fois, mais le spermene s'en allait point ; elle eut beau la laver et même la frotter avec du sablon et avec de la javel, il y demeura toujours du sperme, car la clef était Fée, et il n'y avait pas moyen de la nettoyer tout à fait : quand on ôtait le sperme d'un côté, il revenait de l'autre.
La Toison bleue revint de son voyage dès le soir même, et dit qu'il avait reçu des lettres dans le chemin, qui lui avaient appris que l'affaire pour laquelle il était parti venait d'être terminée à son avantage. Sa femme fit tout ce qu'elle put pour lui témoigner qu'elle était ravie de son prompt retour. Le lendemain il lui redemanda les clefs, et elle les lui donna, mais d'une main si tremblante, qu'il devina sans peine tout ce qui s'était passé.
- D'où vient, lui dit-il, que la clef du cabinet n'est point avec les autres ?
- Il faut, dit-elle, que je l'aie laissée là-haut sur ma table.
- Ne manquez pas, dit la Toison bleue, de me la donner tantôt.
Après plusieurs remises, il fallut apporter la clef. La Toison bleue, l'ayant considérée, dit à sa femme :
- Pourquoi y a-t-il du sperme sur cette clef ?
- Je n'en sais rien, répondit la pauvre femme, plus pâle que la mort.
- Vous n'en savez rien, reprit la Toison bleue, je le sais bien, moi ; vous avez voulu entrer dans le cabinet ! Hé bien, Madame, vous y entrerez, et irez prendre votre place auprès des Dames que vous y avez vues.
Elle se jeta aux pieds de son Mari, en pleurant et en lui demandant pardon, avec toutes les marques d'un vrai repentir de n'avoir pas été obéissante.
Elle aurait attendri un rocher belle et affligée comme elle était; mais la Toison bleue avait le coeur plus dur qu'un rocher :
Il faut que je vous encule jusqu’à en mourir, Madame, lui dit-il, et tout à l'heure.
Puisqu'il faut être enculée répondit-elle, en le regardant les yeux baignés de larmes, donnez-moi un peu de temps pour prier Dieu.
Je vous donne un quart d'heure, reprit la Toison  bleue, mais pas un moment davantage.





samedi 19 novembre 2016

Jerck-off : La porte infernale

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 4/8)


Les voisines et les bonnes amies n'attendirent pas qu'on les envoyât quérir pour aller chez la jeune Mariée, tant elles avaient d'impatience de voir toutes les valets de sa Maison, n'ayant osé y venir pendant que le Mari y était, à cause de sa toison bleue qui leur faisait peur.
Les voilà aussitôt à parcourir les chambres, les cabinets, les gardes-robes, toutes plus belles et plus riches les unes que les autres. Elles montèrent sur les valets de la maison, où elles ne pouvaient assez baiser en grand nombre et admirèrent la beauté de leurs bites, leurs fesses musclées, les torses imberbes et les bras musclées qui les enlaçaient. Elles ne cessaient de baiser et d'envier le bonheur de leur amie, qui cependant ne se divertissait point à voir toutes ces culbutes, à cause de l'impatience qu'elle avait d'aller ouvrir le cabinet de l'appartement bas. Elle fut si pressée de sa curiosité, que sans considérer qu'il était malhonnête de quitter sa compagnie, elle y descendit par un petit escalier dérobé, et avec tant de précipitation, qu'elle pensa se rompre le cou deux ou trois fois.
Étant arrivée à la porte du cabinet, elle s'y arrêta quelque temps, songeant à la défense que son Mari lui avait faite, et considérant qu'il pourrait lui arriver malheur d'avoir été désobéissante ; mais la tentation était si forte qu'elle ne put la surmonter :
elle prit donc la petite clef, et ouvrit en tremblant la porte du cabinet. D'abord elle ne vit rien, parce que les fenêtres étaient fermées ; après quelques moments elle commença à voir que le plancher était tout couvert de sperme séché, et que dans ce sperme se miraient les corps de plusieurs femmes baisée et dont les portraits étaient  affichés (c'étaient toutes les femmes que la toison bleue avait épousées et qu'il avait baisé et enculé l'une après l'autre).
Elle pensa mourir de jalousie, et la clef du cabinet qu'elle venait de retirer de la serrure lui tomba de la main.
Après avoir un peu repris ses esprits, elle ramassa la clef, referma la porte, et monta à sa chambre pour se remettre un peu ; mais elle n'en pouvait venir à bout, tant elle était émue.





lundi 14 novembre 2016

Surprise : Emile en personnage de BD




Cook & tool : La clef

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 3/8)

Au bout d'un mois la toison bleue dit à sa femme qu'il était obligé de faire un voyage en Province, de six semaines au moins, pour une affaire de conséquence ; qu'il la priait de se bien divertir pendant son absence, qu'elle fît venir ses bonnes amies, qu'elle les gamahucha si elle voulait, que partout elle fît bonne chair. Voilà, lui dit-il, les clefs des deux grands garde-meubles, voilà celles des godemichets d'or et d'argent qui ne sert pas tous les jours, voilà celles de mes filtres d’amours et autres poppers, celles des nuisettes où sont les lingeries sexy, et voilà le passe-partout de toutes les chambres :
Pour cette petite clef-ci, c'est la clef du cabinet au bout de la grande galerie de l'appartement bas :
ouvrez tout, allez partout, mais pour ce petit cabinet, je vous défends d'y entrer, et je vous le défends de telle sorte, que s'il vous arrive de l'ouvrir il n'y a rien que votre cul ne doit attendre de ma colère.
Elle promit d'observer exactement tout ce qui lui venait d'être ordonné ; et lui, après l'avoir embrassée, monte dans son carrosse, et part pour son voyage.





mercredi 9 novembre 2016

Surprise : Dick à la toison bleue

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 2/8)

La Toison bleue, pour faire connaissance, les mena avec leur Mère, et trois ou quatre de leurs meilleures amies, et quelques jeunes gens du voisinage, à une de ses maisons de Campagne, pour une partouze géante où on baisa huit jours entiers.
Ce n'était que pines dans chattes, que parties bien sucée et de englouties, que minettes et troufions léchés, que décharges crémeuses : on ne dormait point, et on passait toute la nuit à se faire des malices les uns aux autres; enfin tout alla si bien, que la Cadette commença à trouver que le Maître du logis n'avait plus la toison si bleue, et que c'était un fort robuste baiseur.
Dès qu'on fut de retour à la Ville, le Mariage se conclut.





samedi 5 novembre 2016

Disguise : Seigneur barbu la toison bleue

(Série "les contes de la mère Couguar" : "La toison bleue" 1/8)

Il était une fois un homme qui avait de belles maisons avec piscines et jacuzzi plein aire à la ville et à la campagne, de la vaisselle d'or et d'argent, des meubles vintages, et des berlines tout dorées ; mais par malheur cet homme avait les poils bleus : cela le rendait si laid et si terrible, qu'il n'était ni femme ni fille qui ne s'enfuît de devant lui.
Une de ses Voisines, Dame de qualité, avait deux filles parfaitement belles. Il lui en demanda une en mariage, et lui laissa le choix de celle qu'elle voudrait lui donner. Elles n'en voulaient point toutes deux, et se le renvoyaient l'une à l'autre, ne pouvant se résoudre à prendre un homme qui eût lune toison bleue. Ce qui les dégoûtait encore, c'est qu'il avait déjà épousé plusieurs femmes, et qu'on ne savait ce que ces femmes étaient devenues.





mercredi 2 novembre 2016

Site : Dick présente le blog "Iseult et Tristan"

Un site de photos avec un couple heureux d'échanger et de rencontrer de manière très coquine mais avec toujours le soucis de l'élégance et du glamour.


mardi 1 novembre 2016

Illustration : "Cha cha cha du loup" Chanté par Serge Gainsboug

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit capuchon rose" 8/8)

"Ne crains rien 

Approche-toi 

Je ne te mangerai pas 
Ne sois pas cruelle 
Viens dans mes bras ma jolie 
Viens plus près ma belle 
Et ne tremble pas ainsi 
Je ne te ferai 
Aucun mal 
Je ne suis pas 
Le grand méchant loup aux abois 

Hou ! Hou ! Hou ! Hou ! 
Cha cha cha du loup 
Hou ! Hou ! Hou ! Hou ! 
Cha cha cha du loup "