mercredi 14 septembre 2016

Position : Gang-bang aux sept queues

(Série "les contes de la mère Couguar" : "Le petit puceau" 4/8)

Le petit Puceau grimpa au haut d'un Arbre pour voir s'il ne découvrait rien ; ayant tourné la tête de tous côtés, il vit une petite lueur comme d'une chandelle, mais qui était bien loin par-delà la Forêt. Il descendit de l'arbre ; et lorsqu'il fut à terre, il ne vit plus rien; cela le désola. Cependant, ayant marché quelque temps avec ses frères du côté qu'il avait vu la lumière, il la revit en sortant du Bois. Ils arrivèrent enfin à la maison où était cette chandelle, non sans bien des frayeurs, car souvent ils la perdaient de vue, ce qui leur arrivait toutes les fois qu'ils descendaient dans quelques fonds. Ils heurtèrent à la porte, et une femme vint leur ouvrir légèrement vêtue. Elle leur demanda ce qu'ils voulaient ; le petit Puceau lui dit qu'ils étaient de pauvres hommes qui s'étaient perdus dans la Forêt, et qui demandaient à coucher et à baiser par charité. Cette femme les voyant tous si jolis se mit à pleurer, et leur dit, hélas ! mes pauvres garçons, où êtes-vous venus ? Savez-vous bien que c'est ici la maison d'un Ogre qui enculent les gens ? Hélas ! Madame, lui répondit le petit Puceau, qui tremblait de toute sa force aussi bien que ses frères, que ferons-nous? Il est bien sûr que les Loups de la Forêt ne manqueront pas de nous manger cette nuit, si vous ne voulez pas nous retirer chez vous. Et cela étant, nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous sodomise; peut-être qu'il aura pitié de nous, si vous voulez bien l'en prier. La femme de l'Ogre qui crut qu'elle pourrait les cacher à son mari jusqu'au lendemain matin, les laissa entrer et les mena se réchauffer avec elle. ; Des sept queue elle en branla deux avec ses mains , deux avec ses pieds, suça une , combla son trou du cul avec la plus grosse et laissa le petit puceau labourer frénétiquement sa mangue.


Comme ils la besognaient avec ardeurs, ils entendirent heurter trois ou quatre grands coups à la porte : c'était l'Ogre qui revenait. Aussitôt sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte. L'Ogre demanda d'abord si elle était prête pour baiser, et si elle avait la chatte en feu, et aussitôt il se jeta sur aile. Sa moule était toute chaude, Il labourait fortement. Il fleurait à droite et à gauche, disant qu'il sentait une odeur d’homme. Il faut, lui dit sa femme, que ce soit ce parfum que je viens d'acheter que vous sentez. Je sens des effluves de jeunes queues en rûte, te dis-je encore une fois, reprit l'Ogre, en regardant sa femme de travers, et il y a ici quelque voyeur. En disant ces mots, il déconna, et alla droit au lit. Ah, dit-il, voilà donc comme tu veux me tromper, maudite femme !





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